Plato mixto Xela (pot-pourri)…

Au revoir Xela mais surtout les villages et les campagnes environnantes. On ne regrettera pas tes rues très achalandées, bruyantes, sans grand intérêt, où l’on respire en permanence l’exhaust des véhicules. Mais on se souviendra longtemps des virées que l’on a faites en périphérie de Xela, des gens que l’on a croisées et abordées dans les marchés publics, de toutes les couleurs qui habillaient les femmes, des champs cultivés à flanc de montagnes et des volcans qui pointaient leur cône ici et là.

Toute cette beauté ne peut pas éluder la pauvreté d’une part importante de la population guatémaltèque, surtout rurale. Pauvreté qui perdure depuis des décennies, voire des siècles. Malheureusement, la corruption systémique des gouvernements qui se succèdent n’y accorde pas les efforts nécessaires pour changer en profondeur les choses. C’est d’une grande tristesse et une inacceptable injustice!
































Commentaires

  1. Le dernier paragraphe fait ressortir de grandes vérités. Peu de textes, mais qui résume bien votre senti. Un beau survol. Et maintenant on attend la suite hihi! 😉

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  2. Belles photos de voyages et de marchés. Et pour donner un son de cloche à vos riches propos:
    C'est malheureusement une constatation toujours refaite que les pauvres payent toujours plus cher que les autres et sont toujours, plus que les autres, la proie des plus avides. Et avec une corruption virulente, c'est encore plus vraie. Dan&Laura

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